Gabrielle Rioux
interne en psychologie
Gabrielle Rioux est interne en psychologie et est candidate au doctorat en psychologie (Psy.D. / Ph.D.) à l’UQAM. Elle a été formée à la psychologie humaniste et psychodynamique. Elle s’inscrit dans les approches intersubjectives et basées sur la mentalisation, bien qu’elle adopte avant tout une approche intégrative et adaptée aux besoins de chacun·e.
Elle accompagne des personnes vivant une diversité d’enjeux psychologiques, notamment des difficultés relationnelles, des troubles de l’humeur (tels que la dépression, la bipolarité ou la cyclothymie), des troubles anxieux, des troubles de l’adaptation, des troubles des conduites alimentaires, des troubles liés à des traumatismes ainsi que des troubles de la personnalité.
Tant en recherche qu’en clinique, Gabrielle a développé une spécialité auprès des populations 2SLGBTQIA+. Elle a complété un internat au Centre d’identité sexuelle de l’Université McGill (CUSM). Elle peut offrir un accompagnement psychothérapeutique dans le cadre de questionnements relatifs à l’orientation sexuelle.
Sa pratique repose sur plusieurs principes fondamentaux : chaque personne est unique, le passé influence le présent et chacun·e a la capacité de s’actualiser tout au long de sa vie. Elle croit qu’il n’y a pas d’âge pour amorcer des changements ou pour approfondir sa compréhension de soi.
Pour elle, l’empathie est au cœur du processus thérapeutique. Elle conçoit l’espace thérapeutique comme un lieu sécurisant où les expériences vécues peuvent être symbolisées à travers une mise en mots et ainsi appropriées subjectivement. L’accent est mis sur ce qui se passe dans le moment présent, que ce soit dans le rapport à soi, aux autres ou dans la relation thérapeutique, ainsi que sur la façon dont le passé peut refaire surface dans l’ici et maintenant. Puisque le travail thérapeutique demande souvent à la personne de se montrer dans sa vulnérabilité, elle considère qu’il revient au thérapeute de rencontrer l’autre avec la même authenticité et honnêteté.
" C’est pour avoir plongé dans l’abîme que je commence à aimer l’abîme dont je suis faite."
— Clarice Lispector